Ma question en Commission des affaires économiques sur la préservation et le développement des métiers d’art du patrimoine vivant
Ce matin en Commission aux affaires économiques, j’ai interrogé mon collègue Philippe Huppé sur son rapport qui a pour objet la formulation de propositions permettant de préserver et de développer les métiers d’art et du patrimoine vivant.
« Je vous remercie tout d’abord pour la présentation de ce rapport qui nous permet de nous interroger sur l’avenir des métiers d’art et du patrimoine vivant en France.
Mon département, la Seine-et-Marne, compte aujourd’hui seulement deux élèves apprentis auprès de Maîtres d’art. S’il est difficile de trouver des repreneurs pour ces métiers en voie de disparition, les professionnels se heurtent également à des problématiques de rentabilité.
Vous faites état de propositions liées à l’innovation et à l’usage du numérique pour renforcer la visibilité de ces entreprises. A votre avis, pourrions-nous intégrer le numérique dans le développement des formations, notamment dans la facilitation de la mise en relation Maître d’art et élève apprenti, tout en préservant la qualité de ces savoir-faire ? »